Month: July 2019

Les videurs de boîtes de nuit : bourreaux ou victimes ?

Les videurs de boîtes de nuit : bourreaux ou victimes ?

La sécurité des boîtes de nuit est un sujet épineux, et qui présente de multiples facettes. Les acteurs du milieu sont nombreux : agents, clients, établissements, forces publiques ; leurs intérêts ne sont pas toujours convergents. De par leur caractère nocturne, les clubs sont confrontés à de nombreuses violences. Les relations entre participants et videurs sont explosives, les clients étant ivres et les agents de sécurité tendus et parfois mal formés. Les établissements peuvent avoir des difficultés à faire régner l’ordre lors des diverses soirées qu’ils accueillent. Ainsi, quelle place occupent les agents de sécurité dans ces milieux ? Comment assurer un environnement plus sûr pour tout le monde ?

Les boîtes de nuits ou autres établissements, un milieu violent en tout point

Alcool, stupéfiants, volume élevé, fierté mal placée… Autant de raisons pour que des altercations se déclenchent en boîte de nuit. Cette violence provient des clients, en état d’ébriété ou drogués, ou bien des vigiles. Un ancien videur témoigne d’ailleurs : « Il m’arrivait de taper pour me faire respecter ». De nombreux établissements sont forcés de fermer à cause des trop nombreux débordements qu’ils connaissent.

Le nombre de ces violences est néanmoins en légère baisse, les clients ayant de plus en plus facilement recours à la justice en cas de problème.

Les agents de sécurité, pris entre deux feux

En mai 2018, la boîte de nuit La Plage, à Bordeaux, avait été fermée par ordre préfectoral à cause notamment des agissements des videurs. Ces derniers sont accusés de violences abusives et d’usage de bombes lacrymogènes sans raison, entre autres. C’est en tout 54 plaintes qui avaient été déposées contre cet établissement depuis janvier 2017. Ce cas est exacerbé, mais les problèmes liés aux videurs dans les nightclubs sont monnaie courante. Cela s’explique de diverses manières.

Les établissements ont une part de responsabilité non négligeable. Ils jouent souvent sur les effectifs de sécurité pour réaliser des économies. Au lieu de prendre cinq agents, ils choisissent de réduire à trois, ce qui met en danger les participants, mais aussi les videurs, qui sont affaiblis par leur trop petit nombre. En outre, les conditions de travail des agents peuvent être très peu motivantes. Les rémunérations débutent à 8€ de l’heure. On trouve ainsi de tout parmi les videurs.

De plus, les profils des agents recrutés sont souvent inadaptés à l’emploi. Pour garder le contrôle de la situation la nuit, un videur doit être calme, démontrer son sang-froid, et doit privilégier le dialogue, pour éviter les escalades violentes. Les profils d’anciens militaires sont bien adaptés à ces situations. Or les agents que l’on trouve à l’entrée des boîtes de nuit réunissent rarement ces qualités. Ils se recrutés dans des salles de sport, ou dans des clubs de motos. Ils ne présentent qu’une faible formation, et des expériences éparses, qui ne les ont aucunement préparés au milieu impitoyable de la nuit. Les muscles prévalent sur le recul.

Quid de l’appui de la police ?

Les relations entre forces de polices et boîtes de nuit sont souvent conflictuelles. Les gérants de tels établissements dénoncent un biais de la part des policiers, qui les lèse. Ces derniers montrent peu d’intérêt à les défendre. La coopération entre sécurité publique et privée a beau s’étendre dans certains domaines, le monde de la nuit n’en est pas un.

Les forces de polices ne souhaitent pas se mêler des problèmes de ces établissements privés. En effet, pour Didier Martinez, du syndicat Unité SGP Police FO : « La police nationale n’a pas vocation à assurer la sécurité d’un événement privé. Elle intervient en cas de conflit ou d’infractions mais son rôle n’est pas de faire de la prévention ou des surveillances sur des parkings de discothèque ». Le privé devra donc faire appel au privé.

Comment régler ces problèmes de sûreté dans les établissements nocturnes ?

Le milieu de la nuit n’est pas condamné à subir autant de violences. Les boîtes de nuit ne seront jamais des havres de paix, mais il est possible de remédier à certains des problèmes qu’elles rencontrent.

En premier lieu, il faut davantage d’effectifs. Les établissements nocturnes ne doivent pas lésiner sur la sécurité, et embaucher autant d’agents que nécessaire. Les agents de sécurité ont d’ailleurs de plus en plus de droits dans l’exercice de leurs fonctions. Le port d’armes, par exemple, commence à être légal. Lors des soirées spéciales, qui accueillent des artistes par exemple, et donc qui attendent davantage de participants, les nightclubs doivent aligner leurs effectifs. Les plateformes de réservation d’agents en ligne permettent cette flexibilité. En s’inscrivant sur oprotect.com, les boîtes ont accès aux agents de sécurité en ligne qu’ils souhaitent, quand ils le souhaitent.

Le deuxième point concerne la formation des agents de sécurité. Pour éviter tout débordement lié à un manque de sang-froid du vigile, les établissements doivent s’assurer qu’ils embauchent des individus capables de gérer les situations conflictuelles récurrentes. OProtect s’assure de ne référencer que des agents formés et rigoureux. En passant par cette plateforme, les boîtes ont la garantie de faire affaire avec des individus sérieux et compétents.

Pour ou contre l’armement des agents de sécurité ?

Pour ou contre l’armement des agents de sécurité ?

Le 28 février 2017, les députés français ont voté une loi donnant le droit à l’armement pour les agents de sécurité privée. Le décret d’application a ensuite été publié au Journal Officiel le 31 décembre 2017. Le port d’arme est ainsi autorisé depuis le 1er janvier, sous de nombreuses conditions bien entendu (voir article).

Cette nouvelle mesure suscite un vif débat. Pour mieux s’y retrouver, voici les arguments phares en faveur et en opposition à l’armement des agents de sécurité privée.

Les arguments POUR :

  • Armer certains agents de sécurité, c’est garantir une meilleure sécurité aux français.

Les partisans de cette loi utilisent cette argument à mainte reprises. Depuis 2012, le terrorisme frappe la France. La France demeure encore sous la menace : la DGSE a déjoué 50 attentats depuis 2013, dont 5 depuis début 2018. Les Français ne s’y trompent pas, le terrorisme est le premier sujet de leur préoccupation en 2017 selon une étude de l’INSEE et de l’ONDRP. Donner le port d’armes aux agents de sécurité leur permettrait de pouvoir intervenir plus efficacement en cas d’attaques. Après les attentats au Bataclan, des voix se sont élevées mettant en avant que des agents armés auraient pu stopper les terroristes plus vite.

  • L’avancée importante pour mettre en place une collaboration public-privé efficace.

Armer les agents de sécurité permettra aux agents de remplir des missions aujourd’hui assurées par les forces de l’ordre. La protection des établissements recevant du public (ERP) et des sites SEVESO pourra dorénavant être assurée en partie par des agents de sécurité par exemple. Cela permettra de soulager les forces de l’ordre, qui pourront se concentrer sur leurs missions premières (lutte anti-terrorisme, lutte anti-stup…). Permettre l’armement des agents de sécurité revient ainsi à créer une coopération et une complémentarité entre forces de sécurité publiques et privées, pour la sécurité des français.

  • Une mesure contrôlée qui ne concerne qu’une petite partie des agents de sécurité.

Il ne s’agit pas d’armer tous les agents. Au contraire, l’idée de cette loi est de permettre l’armement d’une petite partie des agents qui suivront une formation poussée et seront soumis à des règles strictes. La loi concerne seulement 2000 agents sur les 170 000 en France. Cet argument répond à la crainte de certains de débordements ou de non-contrôle de l’armement des agents.

  • Une montée en gamme salvatrice pour le secteur de la sécurité privée.

C’est un argument avant tout économique. Permettre l’armement des agents permettrait une montée en gamme du secteur et donc des marges plus grandes pour les entreprises de sécurité (marges qui sont minuscules aujourd’hui). Cela permettrait des meilleurs salaires pour les agents et des investissements dans les pans innovants du secteur (technologie de la sécurité…).

Les arguments CONTRE :

 

  • Une réponse précipitée à la pression populaire à propos du terrorisme.

Pour certains, le gouvernement agit à la hâte pour apporter une réponse à la crainte des français à propos du terrorisme. Ce serait une mesure trop rapide. C’est ce qu’avance un policier interrogé dans un article de Rendre notre monde plus sûr (//rendre-notre-monde-plus-sur.goron.fr/debat-a-t-on-raison-darmer-agents-de-securite-privee/) : « cette loi semble avoir été promulguée dans la précipitation ».

  • Crainte de débordements : comment former et contrôler l’armement agents de sécurité ?

La formation des agents est l’argument phare des opposants à l’autorisation du port d’armes pour les agents de sécurité. L’armement est un sujet très sensible. Il suppose une formation poussée et un contrôle drastique des agents. De quelle manière le secteur privé et l’État vont former les agents ? Comment vérifier si un agent est fiable (casier judiciaire…) ? Quel contrôle au quotidien sur l’action des agents armés ? Autant de questions qui nécessitent une lourde réflexion mais aussi de gros moyens financiers (formation, contrôle). C’est un véritable défi pour le milieu de la sécurité privée, et l’erreur n’est pas possible. Beaucoup se demandent si l’État, en voulant régler un problème de sécurité, n’en a pas créé un nouveau…

Débordements et violences en marge des matchs de la CAN

Débordements et violences en marge des matchs de la CAN

Jeudi 11 juillet 2019, l’équipe d’Algérie gagne son quart de finale contre la Côte d’Ivoire. Quelques minutes plus tard, des milliers de ressortissants algériens descendent dans la rue pour fêter leur victoire. Il s’en suit des débordements et violences à Paris comme dans le reste de la France.

Des scènes d’effusions sur les Champs-Elysées

Peu après la fin du matchs, les klaxons et les voix des ressortissants algériens résonnaient sur les Champs-Elysées. La bonne humeur et les fumigènes étaient au rendez-vous, mais il y eut aussi des débordements et violences, et une tronçonneuse. En effet, un homme a descendu l’avenue avec une tronçonneuse à la main. Le dispositif de sécurité instauré par la ville de Paris fut pris au dépourvu ce soir là, mais la vidéo fait le buzz en ce moment sur internet.

Cependant, les célébrations ont dégénéré peu avant minuit. Effectivement, une fois la nuit tombée, les casses commencèrent : voitures, bus, magasins. Rien n’est laissé au dépourvu. Le magasin de moto de la marque Ducati fut vandalisé, des vitrines cassées et des motos volées : 100.000 euros de perte.

Des accidents tragiques en marge des célébrations

Bilan de la soirée : 74 interpellations. En particulier celle d’un jeune de 21 ans qui a perdu le contrôle de son véhicule et a fauché une famille vers 22h30 à Montpellier. La mère de famille fut tué sur le coup. Son bébé est grièvement blessé et encore à l’hôpital.

En parallèle, à Nancy, un homme a été blessé par un coup de couteau. L’Etat français est désormais prévenu et le gouvernement s’inquiète quant à la multiplication de ces comportements. En effet, la demie-finale Algérie-Nigéria va se dérouler le soir du 14 juillet, jour de fête nationale.

Un dispositif de sécurité lacunaire

Ce soir même, les effectifs de police furent pris par surprise. L’Etat ne pensait pas que de tels débordements auraient lieu et n’a donc pas mis en oeuvre les moyens nécessaires. Au total, 20 policiers ont été blessé et les Champs-Elysées furent saccagés. Le dispositif policier aurait pu être comblé par de la sécurité privée par exemple.

En effet, ils y a de nombreuses compagnies qui maintenant permettent de réserver des agents de sécurité en ligne pour ce type d’événement. La flexibilité d’OProtect aurait permis de mobiliser des effectifs de maintient de l’ordre et aurait évité les casses par exemple. Des agents spécialisés en protection de biens ou en pré-vol seraient directement venus sur place.

La sécurité est l’affaire de tous mais dans ce genre de crise, il est difficile de trouver la solution adaptée. S’appuyer sur des plateformes de réservation en ligne pour répondre à des demandes spontanées et surprises pourrait constituer un début de réponse à cela.

La sécurité dans les galeries d’art

La sécurité dans les galeries d’art

Un œuvre de Botero d’une valeur de 425 000 euros a été subtilisé le 5 novembre 2017. Cette dernière n’est pas la seule victime des vols, fléau qui menace toutes les galeries d’art. Face à ces problèmes de sécurité, comment ces établissements peuvent-ils se prémunir mieux qu’ils ne le font déjà ?

Des œuvres d’art de haute valeur

Le Botero volé dans cette galerie du VIIIe arrondissement de Paris est une pièce de haute valeur. En effet, c’est un des huit exemplaires de la sculpture Maternity, représentant une femme, son enfant posé sur sa cuisse. La version volée vaut pas moins de 425 000 euros. Quelques mois auparavant, le 30 juillet, un Renoir avait été volé alors qu’il attendait d’être mis aux enchères, le lendemain. Cette toile, Portrait d’une jeune fille blonde, vaut, selon les estimations, entre 25 000 et 30 000 euros. C’était en effet la pièce-maîtresse de la vente.

Et pourtant, pas de stratagèmes si grande envergure pour les voleurs

Etonnement, les galeries d’art ne présentent pas des moyens de sécurité si avancés pour protéger leurs œuvres. La galerie Bartoux qui abritait le Botero, n’avait installé que des caméras de sécurité, mais ni portique ni agent de sécurité pour surveiller les allers-venues des clients. Le voleur n’avait ainsi qu’à entrer, attendre que les employés de la galerie tournent le regard. Ensuite il devait se saisir de la statue et partir, Botero sous le bras. 57cm et 15kg d’envolés dans la nature. De la même manière, le voleur n’a eu qu’à décrocher l’œuvre de Renoir de l’hôtel des Ventes de Saint-Germain-en-Laye pour s’en emparer et partir. Ici encore, pas de sécurité physique, uniquement des caméras de surveillance que les victimes peuvent analyser une fois le méfait commis.

Quelle protection possible pour les galeries d’art ?

Comme on peut le voir au travers de ces deux exemples, les galeries d’art ne mettent pas tout en œuvre pour protéger les œuvres qu’elles exposent. La galerie Bartoux, peut-être parce qu’elle n’expose pas que des œuvres importantes, ne ressent pas le besoin d’augmenter ses mesures de sécurité. Le Renoir, quant à lui, a sûrement été victime d’un relâchement dans les efforts de protection entre son lieu d’exposition habituel et la salle de vente.

Quoi qu’il en soit, les galeries d’art ne sont pas condamnées à être si vulnérables. Elles peuvent par exemple faire appel à des plateformes de réservation d’agent de sécurité en ligne, comme Oprotect.com. Sur OProtect, elles peuvent choisir la durée de la protection comme elles le souhaitent. Ainsi, en cas de forte affluence, par exemple pour un vernissage, elles peuvent embaucher davantage d’agents de sécurité. Cette présence est rassurante pour le galeriste, et elle est surtout dissuasive pour les voleurs potentiels.

Sécuriser son mariage : une étape incontournable pour une cérémonie réussie

Sécuriser son mariage : une étape incontournable pour une cérémonie réussie

Un événement de cette envergure, c’est toujours difficile à organiser. Prévoir la sécurité de son mariage est essentiel pour éviter tout débordement.

De plus en plus d’incidents durant les mariages

Une cérémonie de mariage a mal tourné samedi 15 juin 2019 à Mulhouse. Une agent de l’état civil et un élu ont été pris à partie. En effet, l’élu a été insulté et menacé de mort dans ses locaux. De plus, des coups ont été portés à des invités, mais aussi à un policier. Ainsi, les forces de l’ordre se sont retrouvées prise à dépourvu, et le mariage a mal tournée.

L’affaire va être trainée en justice et sera classée, car des plaintes ont été déposées. Résultat des courses : un mariage raté, des invités fous de rages et un problème avec la justice et la municipalité.

Les différents types d’incidents qui peuvent survenir durant votre mariage

Un mariage est un événement en soi qui ne pose pas de problèmes de sécurité évidents. Ceci étant dit, il convient de penser à tout pour le bien de vos convives et vous mêmes.

Dans un mariage, différents incidents de sécurité peuvent survenir :

– La gestion des invités : on ne contrôle pas trop les entrées et sorties, il peut toujours y avoir une personne indélicate qui vient s’y incruster en se faisant passer pour un cousin lointain ou autre pour perpétrer quelques vols.

– L’alcool au volant : après une fête bien arrosée, assurez-vous des invités qui sont aptes à conduire jusqu’à leur chambre d’hôtel.

– La gestion des petits enfants : au cours de la fête, il convient de s’assurer que les enfants sont bien gardés..

Une solution face au problème de sécurité durant votre mariage

Afin de palier à ces problèmes de sécurité, des plateformes comme OProtect propose des solutions adaptées. Effectivement, OProtect propose des solutions de réservation d’agents en ligne pour que votre cérémonie se déroule sans accro. Pour ce genre de prestation, les grands groupes refusent les missions car ces événements sont trop courts selon eux. OProtect est justement là pour vous mettre en contact avec le bon prestataire. Ce dernier répondra à vos besoins car il sera spécialisé dans les mariages ou événements de courte durée. C’est une solution technologique, flexible et accessible à tous. La plateforme propose des agents de tous types pour les mariages, de l’agent incendie au bodyguard.

Le ras-le-bol des bijoutiers concernant le manque de sécurité

Le ras-le-bol des bijoutiers concernant le manque de sécurité

Selon Christine Boquet dans un interview pour Nice-Matin, un braquage de bijouteries a lieu tous les jours en France. Même constat pour l’Observatoire National de la Délinquance et des Réponses Pénales (ONDRP), qui souligne que le nombre de braquages a augmenté de près de 60% ces dernières années.

Les facteurs de la recrudescence du nombre de braquages de bijouteries

Une des principales raisons de l’explosion du nombre de braquage serait la hausse du cours de l’or. En effet, l’or devient une valeur sûre pour les investisseurs et les déçus du crack de 2008. La majorité des bijoux vendus a une forte contenance en or et ils se revendent très bien au marché noir. De ce fait, ils sont très prisés par les braqueurs. Ces derniers n’hésitent pas à faire preuve d’une extrême violence pour récupérer le maximum de bijoux possible. Tout doucement, on se dirige vers une professionnalisation du braquage de bijouteries.

Dernier braquage en date : le 5 juin 2019 dans le 8ème arrondissement à Paris. Ce qui choque le plus dans ce type de braquage en dehors de sa violence, c’est la professionnalisation du métier de braqueurs. L’un des deux braqueurs, casqué et armé, frappe le bijoutier à la tête. Pendant ce temps-là, le deuxième individu, s’empare du contenu de la vitrine. Effectivement, ils ont l’air de s’entrainer de mieux en mieux pour être de plus en plus à l’aise. Pour répondre à cette professionnalisation, il faudrait faire appel à des professionnels de la sécurité.

Des sociétés de sécurité privée comme effet dissuasif

En 2010, l’Etat s’est rendu compte des lacunes du système de sécurité des bijouteries. C’est ainsi que la collaboration entre instances publiques et sociétés de sécurité privée commença. En effet, caméras de surveillance et sas de sécurité ne dissuadent plus les voleurs. Aussi, les braqueurs sont de plus en plus violents envers les bijouteries. L’Etat pourrait donc faire appel à des sociétés de sécurité privée pour contrer cette tendance. Par exemple, des plateformes en ligne comme OProtect propose des services de sécurisation pour les objets de luxe. Leurs agents sont entrainés à ce type de situation et prêts à répondre à des situations de hold-up. Ainsi, avec une équipe de sécurité formée, le braquage de bijouteries du 5 juin n’aurait peut-être pas eu lieu.

Source : //www.leparisien.fr/paris-75/les-images-impressionnantes-du-braquage-d-une-bijouterie-a-paris-05-06-2019-8086938.php

Les cambriolages en été : le gardiennage comme solution

Les cambriolages en été : le gardiennage comme solution

Avec plus de 570.000 violations de domicile par an, le cambriolage est un problème majeur pour la sécurité publique et privée. Une solution pourrait être le gardiennage selon certains professionnels de la sécurité.

Chaque été, le nombre de cambriolage explose en raison des départs en vacances. Même si la tendance est à la baisse (-1% depuis 2015), ces chiffres sont faussés. Effectivement, tous les cambriolages ne sont pas déclarés à la police. Par exemple, 2/3 des victimes ne déclarent pas de sinistres. D’un autre côté, en région parisienne, la moyenne est de 7 vols pour 1000 habitants. Les sociétés de sécurité et de gardiennage tentent de résoudre ce problème. Des plateformes telles que OProtect permettent d’effectuer ce genre de mission l’été de manière flexible, rapide et efficace. Contre les cambriolages, une solution : le gardiennage.

En été, les voleurs ne prennent pas de vacances.

Selon Observatoire National de la Délinquance et de la Réponse Pénale (ONDRP), 2/3 des effractions ont lieu durant la période estivale. Cela est dû à l’absence prolongée de certains propriétaires ou locataires. Mais aussi aux mauvais reflexes des vacanciers : message vocal sur répondeur, réseaux sociaux , boite aux lettres.

Mais, les maisons restent les cibles prioritaires des cambrioleurs, car il y a moins de voisins, donc moins de témoins. Aussi, les effractions sont plus « violentes ». En effet, plus de biens sont dérobés et les lieux sont saccagés pour les mêmes raisons. De plus, 95% des cambriolages ont lieu lorsque la maison est vide, ce qui est le cas durant les vacances. La présence d’une personne sur place est dissuasive selon l’ONDRP. Pour éviter ça, des agences de sécurité comme OProtect proposent du gardiennage à cette période à moindre coût.

Comment se prévenir des cambriolages durant une absence de longue durée ?

Plusieurs solutions s’offrent à vous. Tout d’abord, fermer sa porte à double tour, ne pas mettre son adresse sur les clefs, changer de serrure en cas de perte… Ce sont des choses à faire pour limiter les risques de casse en été.

Mais, d’autres options sont envisageables, comme faire appel au domaine de la sécurité privée. En effet, les agences de sécurité privée proposent des services de surveillance afin que vous partiez avec l’esprit tranquille. Il est possible de réserver des agents de sécurité certifiés qui feraient des rondes quotidiennes afin de surveiller votre logement. Le gardiennage permet donc de se libérer du poids des cambriolages.

De nouvelles solutions technologiques : la surveillance 24/24

La domotique s’avère être aussi une option possible. La nouvelle tendance, c’est d’avoir des objets connectés dans sa maison reliés à un système de surveillance. Mais, ce qui est recommandé par les assureurs , c’est de coupler de la technologie à du gardiennage. En effet, ces systèmes manquent encore de fiabilité. Et c’est surtout parce que constater les dégâts, porter plainte, se faire rembourser par son assureur prend du temps. De ce fait, réserver un agent de sécurité en ligne serait un gain de temps et d’argent.

La sécurité dans les salles de spectacle

La sécurité dans les salles de spectacle

Le Bataclan, le Manchester Arena… sont des attentats marquant pour les salles de spectacle. Mais ces dernières sont victimes d’autres formes de violence. En tant qu’établissements recevant du public, toutes doivent suivre des réglementations qui assurent la sécurité de leurs clients et de leurs infrastructures. Ainsi, du Zenith au petit café-concert, quelles solutions pour garantir une expérience sécurisée à ses spectateurs ?

Les salles de spectacle, des cibles privilégiées

Les établissements accueillant spectacles et concerts réunissent, par nature, des foules plus ou moins importantes. Des 80 000 spectateurs du Stade de France à la vingtaine dans un café-concert parisien, tous accueillent. Ils ont ainsi pour obligation de garantir à leurs clients une sécurité optimale. Si les plus grosses structurent craignent la menace terroriste, d’autres problèmes de sécurité se posent aussi. On peut citer les mouvements de foule, les bagarres, les agressions sexuelles mais aussi les dommages aux infrastructures.

Les géants du milieu sous haute-surveillance

La France plus avancée en Europe dans le domaine de la sécurisation des salles de concert. Selon le préfet de police Michel Delpuech, « Tous les efforts pour que les Français continuent à aller voir des films et concerts sont mis en œuvre ».

Des dossiers ont été montés pour une trentaine de salles de spectacle parisiennes. Ils précisent les plans d’intervention en cas de danger, ainsi que les dispositifs de sécurité. Le secteur public travaille en coordination avec le privé pour assurer ce genre d’évènements. 

Ces mesures ont eu effet : dès février 2016, les Français sont retournés dans les salles de spectacle. En effet, elles sont imposantes, et donc rassurantes. Autours des grandes salles, les services de sécurité installent un périmètre de sécurité pour qu’aucun risque n’approche l’établissement. Maitres-chiens, CRS et policiers quadrillent le secteur pour repérer tout kamikaze.

Des besoins différents pour des établissements différents

Les salles de spectacle sont des ERP, établissements recevant du public. Sous ce sigle, on trouve des établissements très différents, de par leur taille, leur population, leur affluence… Ainsi, tous les établissements ne bénéficient pas de la protection des CRS, et il leur faut trouver d’autres solutions. Les petites structures qui recherchent de la flexibilité dans leurs mesures de sécurité peuvent s’adresser à OProtect. Sur cette plateforme de réservation d’agents en ligne, pas d’engagement. Si un évènement plus important est attendu dans la salle, il suffit au gérant de se rendre sur le site pour bénéficier du service d’autant d’agents qu’il le souhaite, et pour la durée de son choix. Le sécurité privée est en effet accessible à tous, et cela de plus en plus en quelques clics grâce à ce type de plateformes.